Je dis...
Et les Galgos dans tout ça ? Oui, EUX les "rescue", les raclures de chiotte, les parias, les souffre-douleur...
On fait quoi ? Rien, on les laisse crever là-bas, on ne se bagarre plus pour faire connaître les atrocités dont ils sont victimes ? et demander l'interdiction de la chasse avec les Lévriers ?
Comment peut-on dire avec toute l'information qui nous arrive en flot continu grâce à Internet que c'est du flan pour faire pleurer dans les chaumières ! C'est gonflé quand même et quel manque de respect pour le travail des bénévoles, ici en France et plus encore en Espagne où ils sont méprisés, incompris et où ils surnagent dans un océan de souffrance où la vie d'un animal n'a aucune importance.Ils sont découpés en morceaux, abrutis, affamés, ils les massacrent et prennent leur pied !
Vous n'avez pas assez vu de membres arrachés ? De truffes sectionnées, de cous en lambeaux, de Galgos les yeux exorbités terrés au fond de geôles pourries ? Ils ne méritent pas la compassion et que l'on se démène pour eux ?
Alors faut-il les appeller galgueros, paysans, gitans, chasseurs ou tout simplement mauvais Hommes, peu importe et ce n'est pas la poignée de mecs réglos qui hurle à la calomnie mais qui ne font rien pour dénoncer les actes dont ils ont connaissance qui doit nous faire croire que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. C'est faux.
IL Y A UN GRAVE PROBLEME
AVEC LES LEVRIERS EN ESPAGNE.
Et ce n'est pas sur les assos de sauvetage qu'il faut taper mais sur les responsables des abus... Galgueros, paysans, gitans, chasseurs ou tout simplement mauvais Hommes.
On ne peut pas faire abstraction des Galgos, ils sont là, ils souffrent et ils n'ont rien demandé à personne... Ils ont besoin des toutes les bonnes volontés, que des mains et des regards qui se tendent vers eux.
J'aimerai vraiment qu'il n'en soit pas ainsi et que nous n'ayons en France que des Galgos issus d'élevages... et moins de cadavres tous les matins dans ma boite mail.
Barbara LEFRANC, présidente du Bulletin Des Lévriers.