Comme le savent de nombreux sprinters, à cause de la force centrifuge, il est très difficile de maintenir sa vitesse dans un virage, en fait, les coureurs se penchent dans les virages pour tourner, et ressentent donc une partie de la force centrifuge un niveau des jambes. Autrement dit, un sprinteur en train de tourner a le sentiment d'être plus lourd, et donc court moins vite.
En étudiant des séquences de course deux chercheurs ont constaté que ce n'était pas le cas des Lévriers !!!
La différence entre un sprinteur humain et un Lévrier est que l'homme utilise ses jambes à la fois pour se propulser et pour soutenir son propre poids. Alors que le lévrier utilise la rotation de ses hanches et allonge son dos pour se propulser, ses pattes jouant uniquement un rôle de « super amortisseurs » à la manière de ressorts. La fonction propulsive est donc découplée de la fonction amortissement, ce qui explique que les Lévriers peuvent conserver leur grande vitesse dans les virages.